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Lâcher-prise : pour qui, pour quoi, et comment ?

03/03/2022

Lâcher-prise : pour qui, pour quoi, et comment ?

Maintenir une posture et un positionnement attendu par une hiérarchie au travail, par le cadre familial ou encore par notre cercle amical semble pourtant vital certaines fois.
Mais comment le lâcher-prise individuel et collectif joue un rôle important dans notre épanouissement personnel ?

 


Le lâcher-prise : qu’est-ce que c’est ? 

 

De façon simple, le « lâcher-prise » est définit par le dictionnaire Le Larousse comme le « moyen de libération psychologique consistant de se détacher du désir de maîtrise ».  Mais de quelle maîtrise s’agit-il ? Celui-ci induirait alors que nous, êtres humains, sommes sans cesse dans une dynamique de contrôle de soi. 

En complément de cette définition, Frédérique VAN HER (journaliste, écrivaine et formatrice spécialisée en psychologie) et Marie-Laure CUZACQ (formatrice, conceptrice pédagogique et écrivaine) énoncent que le « lâcher-prise » est « l’action qui consiste à laisser de côté ce qui nous empêche d’aller bien ».

De plus, Cécile NEUVILLE, psychologue, énonce le « lâcher-prise » comme un acte du quotidien : « c’est parvenir à lâcher non pas des faits, mais des émotions, afin de se sentir libéré de la pression de ces dernières » . 

Ces dernières années, le « lâcher-prise » est omniprésent dans le domaine du bien-être. Dans ce sens, nous pouvons aussi observer une pression à « réussir » à lâcher-prise, et cela peut engendrer davantage d’anxiété : « je n’arrive pas à lâcher-prise », « je ne sais pas quoi faire pour y arriver », etc.
Tout l’intérêt de cette démarche est qu’elle permettre un apaisement physique et psychique. L’idée de s’imposer 


Ces différentes définitions mettent en avant que ce fameux lâcher-prise serait un outil, « une façon de » soulager nos états émotionnels et ainsi de vivre pleinement nos actions quotidiennes. Il nous permettrait, ainsi, de prendre de la hauteur et d’observer ce qui se passe à l’intérieur de nous avec un meilleur recul.
Il s’agirait alors d’accepter nos limites dans la gestion de nos émotions surtout dans le cadre des relations humaines.

 

 

Le lâcher-prise : pour qui ? 

 

Chaque être humain est concerné par cette dynamique de « lâcher-prise ». 
Le poids du quotidien pèse sur chacun d’entre nous, et cette action de lâcher prise est primordiale. 
Chacun la met en pratique de manière différente : des temps avec ses amis, du sport, de la lecture, de l’écriture, de la méditation, de la respiration, de l’art, etc. Que de techniques diverses et variées !

 

 

Le lâcher-prise : comment ?

 

Il existe un éventail infini d’exercices permettant de lâcher-prise.

Vous aurez l’opportunité de découvrir des outils tels que la sophrologie, la méditation, l’écriture, le sport, et d’autres encore.

Afin de facilitez vos recherches, vous trouverez dans les lignes qui suit quelques idées d’activités à réaliser facilement.

 

1.    Exercice de respiration 

https://www.youtube.com/watch?v=Q0RdaGj_C2c

 


2.    Exercice de prise de conscience : une journée sans dessus dessous

• Listez, dans les moindres détails, toutes les habitudes de votre journée type du moment (en vacances ou au travail) : l'horaire du lever, la façon dont vous vous préparez, le menu du petit déjeuner, votre place à table, les vêtements que vous portez, etc. Le but : bousculer les détails.
• Faites tout différemment et dans le désordre. Surtout, prêtez une extrême
attention à ce que vous ressentez.
• Vous prendrez ainsi conscience que non seulement la nouveauté ne génère pas forcément de l'insécurité, mais qu'elle a aussi le pouvoir de redynamiser un
quotidien trop souvent vécu en mode « pilotage automatique »

 

 

Le lâcher-prise est finalement un moyen de trouver son équilibre entre contrôle de ses émotions et le fait de s’autoriser à les exprimer librement.

 

 

Belle découverte a vous et au plaisir de vous rencontrer ☀️

 

 

Clémence DÉSIRÉ, Coach en développement personnel

www.nuicoaching.fr 

Contexte actuel : comment maintenir nos liens sociaux?

30/11/2020

Contexte actuel : comment maintenir nos liens sociaux?

Rester en contact avec notre entourage, favoriser la mise en relation avec les autres, être en communication régulière avec son environnement… Que d’actions qui semblent aujourd’hui, devoir être laissées de côté du fait du contexte sanitaire. 

 

Mais comment éviter l’isolement social et le sentiment de solitude au quotidien ?

 

Exemple : au sein des structures accueillants de façon résidentielle les personnes âgées (EHPAD), les visites ont dû être suspendues pour la sécurité sanitaire des résidants. Mais quels impacts au quotidien ?

 

Qu’est-ce que le lien social ?

 

Pour appréhender au mieux la notion de lien social ainsi que son importance dans notre vie quotidienne, il est primordial de comprendre comment cela fonctionne.

 

D’après Émile DURKHEIM, le sociologue français vu comme le précurseur de la sociologie moderne, « le lien social est l’ensemble des liens culturels, sociaux et économiques qui relient les individus dans leur vie quotidienne » . Serge PAUGAM s’inscrit dans la continuité des recherches et des réflexions de son confrère, et évoque le lien social sous quatre formes : le lien de filiation (famille), le lien de participation élective (couple, réseaux d’amis), le lien de participation organique (travail) et le lien de citoyenneté (société) . 
Chacun de ces liens représente la construction identitaire d’une personne au cours de son existence afin de maintenir du lien dans son quotidien (que ce soit avec sa famille, au sein d’un groupe d’appartenance, dans son milieu professionnel et dans la société).

Actuellement, la majorité de ces liens sont mis à rudes épreuves : impossibilité d’être en contact avec sa famille et son entourage, un cadre environnemental de travail transformé principalement en méthode de télétravail. 

 

Georges SIMMEL, philosophe et sociologue allemand, précurseur de la sociologie interactionniste, est le premier à évoquer l’importance des interactions dans la construction du lien social .

 

Finalement, à quoi sert le lien social ?

 

 

Quels impacts pour nous ?

 

En 2020, en France, nous avons pu être soumis à un cadre restrictif d’échanges et de rencontres dans le cadre du confinement. Des enfants ne pouvant plus se rendre à l’école et donc ne plus être en relation avec leurs camarades au quotidien. 

Dans le cadre de la psychologie du développement, l’école est un réel outil d’évolution identitaire : prise de confiance en soi, développement des compétences d’interactions avec les autres (adultes et enfants), apprentissage de la langue et bien d’autres encore. Il en est de même chez l’adulte et son cadre environnemental (professionnel et personnel), qui se construit et évolue sans cesse au cours de sa vie. Les besoins primaires, démontré dans le cadre de la Pyramide de Maslow, identifie le besoin d’appartenance en troisième position pour acquérir un épanouissement personnel.

 

 

Nous pourrions donc envisager que cette impossibilité d’être en contact avec les autres pourraient nous impacter au sein de notre développement. 

 

Et pourtant, l’être humain, l’individu en tant que tel est remplit de ressources et de compétences qu’il adapte en fonction de son environnement. Un certain nombre d’initiative ont pu être observé afin de pallier le manque d’interaction rencontrées lors de cette année.

 

 

Quelques idées pour maintenir le lien… 

 

Réaliser des visio-conférence, des échanges épistolaires, des apéritifs en webcam, faire des jeux partagés en ligne avec ses proches, passer des appels téléphoniques plus régulièrement pour maintenir les interactions… 

 

Que ce soit dans le milieu professionnel ou la sphère privée, il nous a fallu nous adapter pour continuer d’interagir. La technologie nous permet aujourd’hui, d’être en contact régulier avec notre entourage et elle s’est révélée être un vrai outil de communication. Elle n’est pas la seule ; nous avons pu observer un retour des échanges épistolaires entre membres d’une même famille, avec ses amis, et même des inconnus. 

 

L’objectif, reste finalement, de maintenir une forme de partage avec les autres. Un partage de ses connaissances, de ses compétences et de ce que la personne vit au quotidien. 


L’une des choses les plus importantes à retenir de cette expérience, c’est d’avoir pu observer à quel point l’être humain sait s’adapter à un contexte pas toujours simple à supporter. 

 

Même si, le lien social est primordial dans notre construction identitaire, il semblerait, que durant cette période particulière, les personnes ont même réussi à prendre du temps pour soi.. 

 

 

Clémence Désiré, Coach de développement personnel

www.nuicoaching.fr 

 

 

 

Sources

DURKHEIM, E. De la division du travail. P.U.F. Paris, 1973.

http://ses.ens-lyon.fr/ses/articles/le-lien-social-entretien-avec-serge-paugam-158136 

Georg Simmel, Sociologie et épistémologie, Paris, puf, coll. « Sociologies », 1989.

 

La Psychologie Positive : un état d’esprit plutôt qu’une théorie

23/11/2020

La Psychologie Positive : un état d’esprit plutôt qu’une théorie

Le chercheur en psychologie et professeur Martin SELIGMAN, est l’un des précurseurs de la science de la Psychologie Positive. En effet, en 1996, il réalisa une étude de l’optimisme et des facteurs en jeu dans son développement. En 1998, c’est la création officielle de cette discipline. 

L’objectif de celle-ci, est d’étudier ce qui rend la vie plus satisfaisante au quotidien. Pour cela, un certain nombre de théories ont dut être testées et appréhendées. Comme toute science, elle se base sur des faits réels, sur des résultats observés au travers d’études réalisées au cours de ces vingt dernières années. 

 

L’analyse des individus ou des groupes qui surmontaient mieux que d’autres les situations adverses a permis, pour les chercheurs, d’appréhender le développement des forces et des ressources que ces mêmes personnes ou groupes utilisaient. 

 

En 2005, Shelly GABLE et Jonathan HAIDT donne une définition à la Psychologie Positive : « l’étude des conditions et des processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des institutions ».

 

 

Encore un petit peu de théorie…

 

Comme énoncé précédemment, cette discipline étudie les comportements permettant d’améliorer le bien-être au quotidien qui, toujours selon SELIGMAN s’articule autour de 5 piliers : les émotions positives, l’engagement, les relations humaines, le sens et le but de la vie, les accomplissements. 

 

Le principal objectif est de rendre le quotidien d’une personne plus heureux et plus utile. Pour cela, la clé de la Psychologie Positive est la suivante « qu’est-ce qui va bien chez vous ? ». Il s’agit de comprendre en profondeur les émotions positives, les traits positifs ainsi que l’intuition positive. 

Cette théorie s’applique dans différents domaines de la vie (éducatif, santé, thérapie…) en s’appuyant sur les trois temporalités : 

 - Le passé, qui comprend le bien-être et la satisfaction,

 - Le présent qui comprend le bonheur et le « flow »,

 - Le futur qui comprend l’espoir et l’optimisme.

 

 

 

 

Et sinon, au quotidien, en quoi cela consiste-t-il ?

 

Nous pourrions aborder encore beaucoup d’éléments théoriques permettant d’expliquer la Psychologie Positive. Néanmoins, nous essayons surtout de comprendre qu’elles sont ses bénéfices et quels outils pouvons-nous utiliser pour intégrer cette science dans notre quotidien. 

En pratique, la Psychologie Positive s’applique tant au champs personnel que professionnel, et recense un panel assez large d’outils et d’exercices. Chacun d’entre eux, tend à étudier, analyser, et comprends notre propre fonctionnement, et comment nous pourrions le faire évoluer afin d’être plus à même d’être dans une dynamique positive au quotidien. 

 

Par exemple, ils vous permettent d’identifier quelles sont vos forces de caractère, et ainsi de pouvoir influer sur les cinq piliers que nous avons énoncés précédemment. D’après Martin SELIGMAN et Christopher PETERSON, il existerait 24 forces de caractères et elles représenteraient un des facteurs principaux de notre épanouissement. 

L’objectif étant de mener une vie qui nous plait et nous apporte pleinement satisfaction, bonheur et épanouissement. 

 

Différents outils peuvent être utilisés dans cet objectif tel que : la roue de la vie, la liste des envies, le cahier de gratitude, et pleins d’autres encore.

Lorsqu’une personne souhaite être accompagnée dans le cadre d’un espace thérapeutique, la Psychologie Positive est un outil phare. Relever ses réussites, appréhender avec elle ce qu’elle identifierait d’échec, l’accompagner dans cette évolution de prise de conscience…

 

Ce mélange de théorie et de pratique se basant sur l’individualité de chaque personne apporte une nouvelle façon de penser la vie quotidienne. Elle permet d’appréhender différemment chaque évènement qui se réalise, de la manière dont nous souhaitons qu’elle nous impacte. Il ne s’agit en aucun cas de laisser de côté les émotions désagréables mais de les identifier, les analyser, les accepter et les utiliser à bon escient. 

 

C’est en ça que la Psychologie Positive est un véritable outil, mais pas que… 

 

 

Clémence Désiré, Coach de développement personnel 

www.nuicoaching.fr

 

 

La colère, une source de création ?

18/11/2020

La colère, une source de création ?

Dans cet article je vous invite à mettre de côté l'espace d'un instant, les préjugés que vous avez à l'égard de cette émotion afin d'explorer et d'ouvrir de nouvelles pistes. 

 

 

LA COLERE, UNE EMOTION QUI A MAUVAISE PRESSE

 

Selon le dictionnaire Larousse, le terme colère est défini comme un « état affectif violent et passager, résultant du sentiment d'une agression, d'un désagrément, traduisant un vif mécontentement et accompagné de réactions brutales ».

Cette définition peut glorifiante illustre bien le paradoxe dans lequel certaines personnes soucieuses de faire de leur mieux, peuvent être.

Dans le cadre du coaching en développement personnel, j'accompagne actuellement une cliente qui me dit ne pas vouloir se mettre en colère. De sa place, la colère est une émotion synonyme de conflit et de violence. Le cas de ma cliente n'est pas à une situation à part. Elle illustre bien le cloisonnement que nous faisons au sujet de nos émotions. Trouver l'entre deux, entre le fait de ne pas devenir esclave de sa colère et l'exprimer sainement, est devenue un véritable apprentissage. 

Nous vivons dans une société ou la colère peut être vu comme une émotion susceptible de bouleverser l'équilibre du système dans lequel évolue l'individu. C'est d'ailleurs sous couvert d'un certain nombre de prérogatives en lien avec notre éducation que nous avons construit notre rapport à la colère.

N'avez-vous jamais entendu ou même dit que la colère était « mauvaise conseillère », qu'elle nous rendait « aveugle », voir même « méchant ». Ces mots partent d'une bonne intention et il est évident qu'ils nous ont permis de sauver bon nombre de nos repas de famille, ou de situations susceptibles d'être animées.

En réalité la colère n'est ni bonne ni mauvaise, elle est là pour nous délivrer un message.

 

 

ET SI ON ARRETAIT DE VOULOIR FUIR CETTE EMOTION, COMME SI ELLE ETAIT LA PESTE...

 

L'abbé pierre dans une interview sur TRL, en réponse à un journaliste lui disant qu'il semblait être en colère à propos du manque d'efforts consacrés aux sans-abris. Il dit : « la colère, mais c'est une vertu ! J'espère bien que vous vous mettrez en colère si, devant vous, l'on bat vos enfants. » 

Cette émotion, lorsqu'elle est ressentie, est un signal d'alarme, qui vient nous éclairer sur le non-respect de nos besoins. Elle est là pour nous transmettre un message, qui tant qu'il ne sera pas entendu, reviendra de plus en plus fort. 

La colère ne nous rend pas aveugle, mais bien au contraire, elle nous invite à être plus présent à nous même, si tenté que nous prenions le temps de la considérer. D'ailleurs, l'une des clés réside peut-être dans cette considération que nous pourrions avoir pour elle.  

Celle-ci nous permet d'y voir plus clair dans la « reconstruction de nos frontières personnelles » avec le reste du monde. En étant plus à l'écoute de notre colère nous sommes d'une certaine manière en protection ainsi qu’en phase avec nos valeurs.

Ce désir de la prendre en compte, nous permettra par état de fait, d'atteindre et d'exceller dans la réalisation de nos objectifs.

Une prise de conscience de sa colère dans certaine situation peut nous permettre d'adopter la bonne attitude pour gérer un conflit.

Il n'y a pas de formule magique, mais un accompagnement et des outils adaptés, peuvent contribuer à nous libérer de certains de nos comportements.

 

Joëlle Adou, Coach en développement personnel 

 

Sources:

Youtube -Et tout le monde s'en fout 

Salomon Nasielski Le bon usage de la colère

Vous avez dit Coach de développement personnel ?

07/11/2020

Vous avez dit Coach de développement personnel ?

Pour qui et pour quels besoins?

 

Le coaching est de ce fait, à destination de toute personne souhaitant modifier ou faire évoluer ses fonctionnements ancrés au quotidien. Il peut s’adresser aux personnes se définissant avec peu ou pas de confiance en eux, des difficultés dans la gestion de leurs émotions, du stress, de l’anxiété…

 

Il n’y a pas de limite d’âge concernant ce type d’accompagnement. Petits et grands peuvent s’engager dans cette démarche !

Toutes personnes physiques et morales, développent des croyances présentent depuis l’enfance ou plus récentes. Ces croyances peuvent être de réel soutien dans notre fonctionnement quotidien, mais aussi représenter des freins. Il s’agit, régulièrement, dans le cadre du coaching de vie, de travailler sur ces croyances limitantes nous empêchant éventuellement d’évoluer et d’atteindre les objectifs que nous nous fixons.

 

Il nécessite une libre adhésion de la personne qui souhaite s’engager dans une démarche de changement. Cet accompagnement se réalise dans le cadre de séance d’une durée d’une heure durant laquelle échanges et réalisation d’exercices sont utilisés. 

Différentes méthodologies peuvent être sollicitées pour cette pratique telles que la Programmation Neurolinguistique, la Psychologie Positive, la Communication Non Violente, l’Analyse transactionnelle, la psychologie, mais aussi la psycho généalogique. Un panel d’outils est alors à disposition des professionnels pour répondre au mieux à vos besoins en trouvant les méthodes les plus adaptées à votre profil et votre situation. 

 

Cette démarche, mais pour quels bénéfices ?

 

Une nouvelle dynamique de vie, une façon de penser plus positive, accepter ses émotions et appréhender l’intelligence émotionnelle, une meilleure estime de soi et prise de confiance en soi… Des termes spécifiques pour signifier un bien-être au quotidien, mais surtout un fonctionnement adapté à vos valeurs et vos envies. 

Vous pourrez mettre des mots sur vos croyances ; celles qui vous soutiennent et celles qui vous limite. 

 

Il s’agit d’un réel travail sur soi afin de se connaître soi-même davantage. L’objectif tend à trouver un équilibre entre ce que vous ressentez, vos envies, vos besoins, vos objectifs et les actions que vous mettez en place au quotidien. 

Nous arrivons finalement à la grande question que tout à chacun pourrait se poser. 

 

Comment choisir son coach ? 

 

Tout comme n’importe quel professionnel, il semble important de se questionner d’abord soi-même. Il s’agit d’appréhender la démarche dans laquelle nous pouvons nous trouver à cet instant. Qu’est-ce que je cherche ? De quoi ai-je besoin ? 

 

Plusieurs caractéristiques sont alors à prendre en compte. Tout d’abord, votre propre demande : quelles sont vos difficultés ? Pourquoi souhaitez vous être accompagné ? De quelle façon ? 

Puis ensuite, le professionnel que vous recherchez : ses formations, ses connaissances, sa pratique, son relationnel, son lieu d’accueil, son expérience, les avis d’anciens clients… 

 

Contacter différents coachs en développement personnel autour de chez vous peut être aussi une solution vous permettant d’appréhender leurs méthodes d’intervention.

 

Clémence Désiré, Coach de développement personnel à Tours.    

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